Les Tortures
(extrait du " Musée des Supplices ", en partie)

Ceci est un recueil des plus "belles " tortures perpétrées en ce bas monde durant des siècles. Quelques semaines de recherches en librairies, bibliothèques… m'ont été nécessaires pour vous offrir les pages qui vont suivre.


La cage sicilienne : Cage agrémentée de pointes acérées. Sa forme est un cône arrondi. Elle est suspendue et lorsque le torturé se débattait, les clous s'enfonçaient lentement dans ses chairs.

La mutilation & section des membres : Jusqu'à la fin du XVème siècle, quiconque était trouvé en état d'ivresse sur la voie publique, avait une oreille coupée. La section de la main droite était systématique en Egypte, à Babylone et en Ethiopie pour les voleurs dans l'antiquité. Elle est encore pratiquée dans beaucoup de pays arabes.

L'aveuglement : Il est généralement pratiqué à l'arme blanche. Mais peut être fait à la main, ce qui est bien plus douloureux. Toutes les cultures & civilisations l'on pratiqué. Les chinois préféraient mettre de la chaux vive dans les yeux de leurs victimes ; ce qui provoquait des brûlures atroces & durables.

La flagellation : Frapper quelqu'un avec un fouet. Chez les romains, il y avait trois variétés de fouets :
- La ferula : pour les petites offenses.
- La scutitia : formé de deux lanière de parchemin entrelacées, donnait des souffrances prolongées.
- Le flagellum : comparable aux fouets pour les animaux : des lanières de cuir tressées.

La lapidation : Toujours très répandue, elle consiste à jeter des cailloux sur quelqu'un.

L'arrosage : Utilisé dans les pays froid. Consiste à arroser une personne nue & attendre qu'elle gèle. La Comtesse Bathory l'infligea à plusieurs de ses esclaves, elle lui avait donné le nom de " statut de glace ".

L'ingestion de l'eau : Il faut pour cela faire boire plusieurs dizaines de litres d'eau & après, pour augmenter la barbarie, ligaturer chez un homme ou cautériser chez une femme afin qu'il (ou elle) ne puisse uriner. Comme cela, il (ou elle) souffre de la douleur des liens & de l'envie de pisser. (Une légère variante : Le bouchage de l'anus : La victime est gavée de nourriture et, ne pouvant se libérer de ses excréments, elle pourrissait par la vermine générée par ceux-ci).

Le bûcher : Tout le monde a déjà pratiqué le bûcher, dans toutes civilisations et dans tout les pays. En France, par exemple, pour l'inquisition ou autres raisons. On attache la personne à un tronc ou un piquet, on met à ses pieds des fagots, on le recouvre d'huile ( maintenant, il y a mieux : l'essence ! ! !) & on allume…Gnark ! Gnark ! Gnark !

Le supplice du plomb chaud : Pratiqué lors de la rébellion des esclaves indiens contre les colons espagnols. Consiste à verser du plomb en fusion dans la bouche.

Les fourmis : Utilisé en Afrique. La plupart du temps contre les femmes adultères. La personne est ligotée puis on répand sur son corps des fourmis rouges ou magnans (fourmis carnivores d'Afrique, mesurant entre six & huit centimètres).Si la personne passe sous les magnans, seul les os sont ramassés, n'ayant plus aucun gramme de chair dessus. Si elle passe sous les fourmis rouges, son corps gonfle & devient insensible, ensuite les coups des bourreaux pleuvaient jusqu'à ce que mort s'en suive.

Le cyphonisme : Pratiqué par Bathory sur quelques servantes. On enduit le corps de lait, de miel & de sucre, les guêpes, les mouches, les fourmis & autres vermines venaient se nourrir ; en mangeant aussi une partie du condamné.

La barque : On l'enferme entre deux bateaux, en ne laissant dépasser que les mains, les pieds & la tête. Comme pour le cyphonisme, on enduit le visage d'un mélange très sucré, on le nourrit de force sous la menace de lui crever les yeux. Il est obligé de faire ses besoins dans la barque, qui se rempli un peu plus chaque jours. La mort ne survient qu'au bout de quinze jours minimum, il succombe des vers & des parasites qui l'ont rongé lentement.

Le cheval : Torture inventée par les indiens, & très appréciée d'Erzébeth. Le principe est d'éventrer un cheval mort, enlever ses vicères, mettre le condamné à l'intérieur en faisant dépasser sa tête par l'anus de la bête. Recoudre & laisser les charognards, les vers & la vermine dévorer les deux dépouilles.

Le Pal : Aussi appelé Empalement. On enfonçait un grand pieu au bout arrondi dans le fondement du supplicié. Il était ensuite redressé à la verticale afin que la gravité fasse descendre la victime pour que le pieu le transperce de part en part, au niveau de l'abdomen, du thorax ou de l'aisselle. L'extrémité arrondie permettait de pousser les organes vitaux, plutôt que de les blesser. Si la " transpercion " avait lieu à l'abdomen, la mort pouvait survenir en dix jours. Aux autres endroits, cela était plus rapide.
C'est ainsi que Vlad Tepes (qui avait pour autres noms Vlad l'empaleur, ou le plus célèbre, Dracula), embrochait ses ennemis, prisonniers, paysans non respectueux de son autorité ou qui ne s'étaient pas mis face contre terre en le voyant, les traîtres… Il embrochait ses ennemis : les Turcs, sur leur propres lances. Dracula signifie " fils du dragon ", en rapport avec son armure, couleur rouge sang, à l'effigie d'un dragon, ainsi que sa bannière portant le même dessin. Dracula se prononce : dracoulia.

Note de ReGtum : Une biographie, ou plutôt un condensé, sera "bientôt" écrit par mes soins.

Les crochets : Consiste à arracher les côtes en suspendant à des crochets.
Ou, posé sur une table, les bras & les pieds attachés, en position de quasi écartèlement, on arrache les côtes avec des sortes de fourches.

L'écartèlement : Attacher les quatre membres du condamné à quatre chevaux, puis tirer jusqu'à ce que les bras & les jambes s'arrachent. Le tronc est ensuite laissé à l'agonie, se vidant de son sang. La durée du supplice était au minimum de quatre heures, puisqu'il fallait changer les chevaux qui se fatiguaient. Il faut rajouter à tout cela, le temps qu'il mettait pour mourir une fois démembré.

Le chevalet : Ressemblant à un écartèlement, mais à la place des chevaux, on attachait bras & jambes du prévenu à des chaînes que les bourreaux enroulaient lentement. Avec les membres tendus à la limite de l'arrachement, il était ensuite flagellé.

La glace de Venise : Assis sur un cône, des poids aux mains & aux pieds qui étaient un peu plus lourds chaque jour, le condamné contemplait un peu plus chaque jour le cône entrer en lui. Ce supplice doit se dérouler dans une pièce entièrement tapissée de miroirs, afin qu'il puisse voir sa douleur & son agonie sous tout les angles.

La vierge de fer : Fabriqué par un maître forgeron, c'était une sorte de sarcophage hérissé de dizaines de pointes, plus ou moins longues selon les endroits. Les plus longues étaient là où il n'y avait pas d'organe vitaux, pour que la victime meure en perdant son sang dans la douleur & non des blessures infligées à ses organes. Elle était baptisée avec une vierge enfermée à l'intérieur. Bathory en à fait fabriquer une, particulièrement belle, qui ressemblait à une vraie femme, une femme d'une beauté froide & impitoyable, comme sa maîtresse.
>>Images

L'aigle éployé : Torture que Vlad Tepes réservait à ses pires ennemis, aux hautes trahisons & aux espions. Il les attachait en X, et leurs fendait le dos, de la nuque aux reins. Les côtes se détachaient de la colonne vertébrale, et en s'écartant, le plexus écrasait les poumons, l'œsophage et une partie de l'estomac. La mort était rapide, mais " légèrement " douloureuse.

Note du ReGtum : Celle-ci est une de mes préférées, dommage que je n'ai encore pu la tester…Si il y a un volontaire, écrivez moi un mail.

Voilà, c'est déjà fini.
J'espère que cela vous aura ouvert l'appétit…
Mais rassurez vous les enfants, Oncle ReGtum va "bientôt" revenir, Avec d'autre belle pages telles que celles-ci. Mais quand ?

Une dernière chose : Si l'envie vous prend de pratiquer un de ces " amusement ", prévenez MOI, je viendrai jouer avec vous…

DJ ReGtum.